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Vieillir, cette affreuse chose : Les autoportraits de Roman Opalka et Maria Lassnig / Anne Beyaert-Geslin.
// Communication & Langages No 199/2019-Mars 2019.p. 147-161. Comme l'a indiqué naguère Locke, les signes et les images nous sont indispensables pour mémoriser et partager les expériences. En mettant en discours ce qui resterait sans eux, insaisissables, ils accomplissent la part positive d'une médiation. C'est ainsi qu'ils saisissent le temps au passage et le mettent en discours. L'article compare les autoportraits photographiques de Roman Opalka et les autoportraits peints par Maria Lassnig avec une méthodologie sémiotique pour comprendre comment, en faisant signifier des traces, ils relèvent à la fois le défi de la représentation du vieillissement et le partage de son expérience. Ceci permet de préciser les contributions du médium à cet « effet de temps » et de définir deux formes de vie contraires.
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